Ma cousine Carine et moi sommes de retour pour de nouvelles aventures à l’étranger !
Comme vous le savez, à cause du confinement, les voyages que nous avions prévus cette année n’ont pas tous pu avoir lieu. Nous avions prévu de nous rendre à Dubaï en mars, en Grèce en mai et à Cuba en octobre-novembre. Nous avons pu aller à Porto en août comme vous l’avez lu dans mon précédent article.
Aujourd’hui, je vous annonce que notre voyage en Grèce a pu avoir lieu, pas en mai bien sûr, mais pour la période de la Toussaint (la dernière semaine des vacances de la Toussaint et la première du mois de novembre).
Cela fait très longtemps que je souhaite aller en Grèce, elle fait partie de la petite liste des pays que je veux absolument visiter. Les pays en question sont les suivants : la Grèce, l’Égypte, l’Australie et le Pérou. Pour le moment, j’ai eu la chance d’aller en Égypte et en Australie ; la Grèce est donc le pays suivant et il ne restera que le Pérou.
Je vous rassure, ce ne sont pas les seuls pays que je veux visiter, il y en a beaucoup d’autres, mais ces quatre-là étaient/sont ma priorité.
Nous avons préféré aller en Grèce plutôt qu'à Cuba comme cela était initialement prévu car il était beaucoup plus simple de se rendre en Grèce qu'à Cuba en cette période de crise sanitaire.
Jour 1
Revenons-en à nos moutons !
En ce dimanche 25 octobre 2020, ma cousine et moi nous nous envolons pour la Grèce. Nous avons prévu de faire les Cyclades (Santorin et Mykonos), les îles Ioniennes (Corfou) et enfin, Athènes (passage obligé lors d’un premier séjour en Grèce bien sûr).
Pour être plus précise, voici les dates convenues pour chacune des villes : Santorin (du dimanche 25 au jeudi 29 octobre), Mykonos (du jeudi 29 octobre au dimanche 1er novembre), Corfou (du dimanche 1er au mardi 3 novembre), Athènes (du mardi 3 au vendredi 6 novembre).
Pour la première fois de notre vie, nous n’avons eu aucun retard sur notre vol, l’avion a même décollé en avance, chose tellement rare ! Pourtant, nous sommes parties avec une compagnie low-cost, Transavia.
Nous avons donc décollé avant l’heure de départ annoncée (14h40) de l’aéroport d’Orly.
Petite anecdote du jour : le code-barres de ma carte d’embarquement ne fonctionnait pas. Je n’ai pas réussi à le scanner lors de l’enregistrement autonome de nos bagages.
La carte d'embarquement de ma cousine fonctionnant parfaitement, une hôtesse nous a dit d’utiliser la sienne pour enregistrer mon bagage en soute.
Malheureusement, ma carte d’embarquement n’a pas non plus fonctionné lorsque je l’ai scannée pour embarquer.
Nous avons donc dû rebrousser chemin afin qu’on m’imprime une autre carte. Nous avons demandé de l’aide à deux hôtes d’accueil super sympas et marrants et il s’avère qu’ils sont frères. Ils nous ont bien fait rire en nous disant en blaguant qu’on devait payer 1000€ pour qu’ils nous réimpriment la carte.
Un fois le problème réglé, nous avons pu embarquer.
Bon à savoir, il est nécessaire de remplir au moins 48h avant votre départ en Grèce un formulaire PLF en ligne sur lequel vous devez y indiquer des informations sur votre lieu de séjour et autres informations personnelles. Ce document est vérifié une fois arrivé sur le territoire hellénique.
Le vol s’est passé sans encombre mis à part les nombreuses turbulences au début du vol et nous avons atterri 20 minutes en avance.
Avant de récupérer nos bagages, la plupart des passagers ont été soumis à un test salivaire pour la Covid-19.
Encore une fois, il y avait un souci avec le QR code d’un de mes documents, mon PLF, qui a pourtant été scanné sans problème à Paris.
Le premier agent de l’aéroport de Santorin a réussi à le scanner mais pas le second agent. Il a dû ajouter les informations contenues dans mon formulaire à la main sur le formulaire qui est apparu lorsqu’il a scanné le PLF avec son scanner. Il lui a quand même fallu au moins 20 bonnes minutes avant de se décider à remplir les champs à la main.
Afin de nous faciliter la tâche pour nous rendre à notre hôtel Abasa Suites situé à Fira, capitale de Santorin, nous avoons réservé un taxi via Booking.com avant notre départ afin d’être tranquilles une fois arrivées à Santorin. Le chauffeur de taxi nous attendait à la sortie de l’aéroport avec un écriteau portant le nom de ma cousine.
Le trajet jusqu’à l’hôtel a duré 15 minutes.
Le trajet jusqu’à l’hôtel a duré 15 minutes.
En réalité, il s’agissait plus d’un petit appartement que d’une chambre d'hôtel car il y avait aussi un salon et une seconde salle de bain. Nous avions également un balcon sur lequel nous pouvions profiter du soleil en déjeunant ou en sirotant un verre de jus frais.
Ayant atterri un peu avant 19h, heure locale (il y a 2h de décalage avec la France en été et 1h en hiver avec le changement d'heure appliqué en France), nous avons demandé à Eleni, la réceptionniste (une fille vraiment adorable), s’il était possible de commander à manger. Grace aux prospectus qu’elle nous a fourni, nous avons commandé de délicieuses pitas (à l’agneau pour moi et au porc pour ma cousine), de succulentes frites et de la bière grecque (la bière Mythos).
Jour 2
Le jour précédent, Eleni nous a donné une fiche à remplir concernant le petit-déjeuner servi en chambre (il y a une fiche à remplir par jour). Sur cette fiche, nous devions renseigner l’heure à laquelle nous souhaitions que le petit-déjeuner soit servi ainsi que les aliments que nous souhaitions consommer et en quelle quantité.
Le centre-ville est très charmant, rempli de jolies ruelles aux bâtiments d’un blanc immaculé et de petits pavés.
En raison de l’épidémie de Coronavirus, il y avait très peu de touristes, la majorité des commerces étaient fermés et les restaurants étaient quasi vides ; ce n’était pas pour nous déplaire.
Le temps était au beau fixe aujourd’hui, très agréable, une vingtaine de degrés (plus chaud que 20°C en France).
Nous nous sommes donc baladées dans la ville et nous nous sommes posées au Classico Cafe Fira afin de siroter un cocktail : Piña colada pour moi et Mojito aux fruits de la passion pour ma cousine.
Nous avions une superbe vue sur la mer et le volcan Néa Kaméni, toujours en activité.
Nous avons ensuite continué de nous balader puis nous nous sommes posées chez La Scala pour boire un autre verre et profiter du magnifique coucher du soleil.
Nous avons fini la soirée chez Kaliya, un restaurant au décor fleuri, où nous avons commandé comme entrée un tarama absolument délicieux et des burgers.
Les quantités de la nourriture dans les restaurants grecs sont impressionnantes !
J'ai demandé au serveur de nous apporter deux portions de tarama mais il m'a dit qu'une part suffisait largement pour deux personnes. Il n'avait pas tort car la portion de tarama qu'il nous a apporté était, à mon sens, pour quatre personnes !
Nous sommes ensuite rentrées à l’hôtel où nous avons eu la surprise de découvrir sur la table basse de notre salon un pichet de vin ; délicate attention de la part de nos hôtes.
Nous avons eu peur parce que nous avons ensuite entendu des bruits bizarres dans la salle de bain.
Ma cousine a même sorti un couteau du tiroir à couverts pour nous protéger !
C’était drôle mais la situation était assez flippante.
Nous n’avions même plus de réseau 4G et impossible d’appeler l’accueil de l’hôtel puisqu’il n’y avait plus d’électricité. Ma cousine a donc tenté d’envoyer un message via WhatsApp à Eleni qui nous avait donné son numéro, mais sans 4G et Wifi, impossible.
La 4G est revenue quelques minutes plus tard puis l’électricité a suivi.
Jour 3
Nous avons demandé à Eleni de nous commander un taxi et celui-ci est arrivé 10 minutes après. Nous avons payé 30€ à deux pour la course qui a duré environ 10 minutes.
Nous nous sommes baladées dans Oia, puis, vers 12h, nous nous sommes posées chez Thalami Restaurant afin de siroter un cocktail.
Nous avons ensuite continué notre visite d’Oia puis nous avons envoyé un message à Eleni afin qu’elle nous commande un taxi pour nous rendre à Pyrgos, une autre ville qu'elle nous avait conseillé de visiter en plus d'Oia.
Il n’y avait pas beaucoup de choses à voir à Pyrgos, surtout à cause de la situation actuelle et le fait qu’on soit en basse saison.
Là-bas, nous avons déjeuné chez Agaze, un restaurant recommandé par Eleni. Nous étions les seules clientes et c’était bien agréable.
Les plats que nous avons commandés étaient dé-li-cieux !
Nous avons commandé des mezzé grecs à partager (fava (purée de pois cassés épaisse comme de la polenta), tzatziki, rondelles de saucisses, gros cornichons, fromage similaire au cantal, mini salade grecque, tomates frites, pains pita, calamars).
Ces mezzé nous auraient largement suffi à eux seuls car les quantités étaient gargantuesques.
Nous avons commandé un plat chacune avec les mezzé car nous pensions qu’il s’agissait d’une petite entrée, mais en voyant arriver le plateau de mezzé, nous nous sommes regardées ma cousine et moi avec de gros yeux, c’était énorme ! Et les plats qui sont arrivés ensuite étaient également copieux (linguines aux crevettes pour ma cousine et agneau aux feuilles de vigne et pommes de terre sautées pour moi).
Tout était divinement bon mais je n’ai pas réussi à tout finir.
Le serveur nous a offert des gâteaux en guise de dessert.
Nous avons de nouveau envoyé un message à Eleni afin qu’elle nous commande un taxi pour nous rendre à Kamari afin d’y voir la plage de sable noir.
Nous n'y sommes pas restées très longtemps et avons commandé un autre taxi via Eleni pour aller dans le centre-ville de Fira où nous avons fait quelques emplettes.
Nous sommes ensuite rentrées à pied à l’hôtel (pas de dîner pour nous ce soir-là, le repas du midi, enfin de 15h, était largement suffisant).
Pour ce dernier jour plein à Santorin, nous avons pris un taxi afin de visiter les ruines d’Akrotiri (20 minutes de route).
Jour 4
Nous avons eu de la chance car l’entrée était gratuite ce jour-là (au lieu de 12€).
Nous nous sommes ensuite baladées au bord de la plage rouge d’Akrotiri.
Nous avons déjeuné chez The Dolphins Tavern où le serveur qui a pris notre commande n’a rien compris de ce que nous lui avions demandé. Nous lui avions demandé deux homards et il nous a ramené deux morues. Nous lui avons dit que ce n’est pas ce que nous avions commandé et il est revenu avec du homard. Le homard n’était pas assaisonné et juste servi avec du citron, aucun accompagnement comme des frites comme c’était le cas pour la morue.
Ma cousine a pris en entrée des saucisses grillées et j’ai pris du fromage de chèvre grillé. Nous avons pris une bière grecque tout droit venue du volcan de l’île.
Ce restaurant était clairement un échec mais la vue qu'on avait de l'intérieur sur la mer était belle.
Ma cousine et moi avons pris du vin rouge à dessert et elle a commandé du brownie avec de la glace aux fruits rouges. Sa part de brownie était énorme ! Vraiment, on se croirait aux USA avec ces quantités astronomiques de nourriture !
Nous avons terminé par des thés glacés (citron et grenade) avant de rentrer à l’hôtel en taxi.
Jour 5
Après avoir pris notre petit-déjeuner, nous nous sommes dirigées vers l’accueil de l’hôtel afin de procéder au check-out. Nous avons discuté avec Eleni jusqu’à l’arrivée de notre taxi commandé via Booking.com.
Lorsque nous sommes arrivées à l’aéroport, l’enregistrement des bagages s’est fait très rapidement et sans que nous ayons à faire la queue car nous sommes arrivées tôt. L'aéroport était quasi vide.
Nous avons pris l’avion pour faire une escale à Athènes (35 minutes de vol et 3h30 d’escale). Nous avons ensuite repris l’avion direction Mykonos (35 minutes d’avion également).
Nous avions réservé la navette gratuite de l’hôtel (Fresh Boutique Hotel) pour nous rendre à l’hôtel situé non loin de l’aéroport.
Le chauffeur de la navette était adorable, il nous a donné plein de conseils et nous a fait beaucoup rire. Il parlait à la fois français et anglais pour se faire comprendre.
Il nous a déposé non loin de l’hôtel car la zone dans laquelle il se situe est piétonne. Il nous a donné une carte de la ville et nous a expliqué comment arriver à l’hôtel depuis le point de dépôt.
Il nous a déposé non loin de l’hôtel car la zone dans laquelle il se situe est piétonne. Il nous a donné une carte de la ville et nous a expliqué comment arriver à l’hôtel depuis le point de dépôt.
Mykonos est un vrai labyrinthe, nous nous sommes perdues dans les dédales des rues et une dame, voyant qu’on était repassées deux fois devant elle, nous a proposé son aide (elle parlait français).
La dame de l’accueil de l’hôtel était très gentille, elle nous a montré les lieux à visiter ainsi que les plages et nous a dit qu’il était déconseillé de prendre un taxi ici car ils sont très chers.
Notre chambre était vraiment petite, rien à voir avec le luxe auquel nous avions goûté à Santorin. Nous avions une salle de bain avec toilettes, un frigo et un petit balcon.
Nous sommes ressorties ensuite pour nous promener un peu dans la ville et pour nous restaurer chez Casa di Giorgio.
Ma cousine a pris de la burrata en entrée et des pâtes aux fruits de mer. J’ai pris du carpaccio de bœuf et du risotto aux fruits de mer.
Jour 6
Nous sommes descendues vers 9h35 pour prendre notre petit-déjeuner.
Nous nous sommes ensuite promenées dans la ville afin de voir la Petite Venise de Mykonos, les moulins de Mykonos qui sont au nombre de six et le vieux port.
Nous avons pris un cocktail chez Pelican et avons réservé une excursion vers l'île de Delos pour le lendemain.
Toujours attablées chez Pelican, un tremblement de terre s'est produit. J’ai cru que c’était ma cousine qui faisait bouger la table et inversement.
Nous nous sommes encore promenées et avons déjeuné chez Raya : des bruschettas à partager, un énorme burger et des frites pour ma cousine et des brochettes de poulet, frites, pitas et tzatziki pour moi.
Nous nous sommes encore promenées et nous sommes posées sur un banc afin d’admirer le coucher du soleil.
Nous sommes ensuite rentrées à l’hôtel.
Nous sommes ensuite ressorties pour dîner chez Katerina’s, un restaurant dans lequel nous avons pu manger sur un balcon au-dessus des poissons et des oursins avec vue sur les six moulins.
J’ai pris un risotto aux oursins succulent (première fois que je testais des oursins) et ma cousine des spaghettis au veau.
Le soir, aux infos, nous avons appris que le séisme a eu lieu en mer Egée et a touché la Turquie, la Grèce, la Macédoine du Nord et la Bulgarie.
Nous avons pris le bateau direction l’île de Delos (départ à 10h00 sur le vieux port).
Le trajet a duré 30 minutes.
Jour 7
Le trajet a duré 30 minutes.
Le billet a coûté 20€ (nous pensions que le billet nous permettrait de visiter l’île mais il fallait payer 12€ de plus).
L’île permettait de découvrir des vestiges. Il y avait également un petit musée.
Le bateau est reparti pour Mykonos à 13h30.
Nous avons déjeuné chez Vento (délicieuses pizzas) puis nous nous sommes posées au bord de l’eau jusqu’au coucher du soleil.
Nous avons ensuite dîné chez Kazarma.
Jour 8
Nous avions une escale de 7h30 à Athènes (normalement, on aurait dû avoir une escale d’1h30 mais en procédant à l’enregistrement en ligne la veille de notre départ, je me suis rendu compte que notre second vol avait changé, nous n’avons même pas reçu de mail pour nous prévenir).
Nous n’avons pas eu à récupérer nos bagages à Athènes pour le vol suivant à Corfou, ils ont été directement transférés malgré la longue escale. Pas besoin de mettre nos bagages en consigne.
Afin de ne pas perdre notre journée à l’aéroport d’Athènes en attendant notre vol pour Corfou, nous avons pris un taxi pour visiter l’Acropole qui était gratuit ce jour-là (gratuit les premiers dimanches des mois de novembre à mars).
Après l’Acropole, nous sommes allées déjeuner chez Opos Palia Cafe Food ; j'ai pris une moussaka et ma cousine une dorade. Nous avons également pris du fromage grec grillé (talagani) en guise d'entrée.
Nous nous sommes ensuite un peu promenées dans la ville avant d'atteindre d'autres lieux touristiques à visiter.
Nous avons aussi visité l’Agora et Hadrian’s Library également gratuits.
Nous avons alors pu économiser 36 euros chacune (prix d'entrée de l'Acropole, l'Agora et Hadrian's Library confondus).
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Hadrian's Library |
Après Hadrian’s Library, nous avons commandé un Uber pour l’aéroport.
Le vol a duré 1h pour Corfou.
Le vol a duré 1h pour Corfou.
Nous avions commandé un taxi via Booking.com pour nous rendre à l’hôtel (8mn de route). Le chauffeur de taxi nous a dit que nous étions ses dernières clientes de la saison.
La dame de Siora Vittoria Boutique Hotel n'était pas particulièrement aimable et très craintive vis-à-vis de la Covid-19. Lorsque je me suis approchée d'elle pour lui dire quelles clientes nous étions, elle m'a demandé de me reculer et de rester derrière la petite table qu'elle avait installée à 2 mètres de son bureau.
Ici aussi, il fallait remplir une fiche pour le petit-déjeuner tout comme à Santorin.
Après nous être posées quelques instants dans la chambre, nous avons rempli la fiche pour le petit-déjeuner afin de la remettre à l'accueil en descendant et nous sommes allées dîner à l'extérieur chez Persona Grata Cafe. J'ai pris du carpaccio de boeuf en entrée et ma cousine a pris une entrée à base de champignons et fromage. J'ai ensuite commandé un risotto au poulet et crevettes et ma cousine un burger.
Jour 9
Jour 10
Après une heure de vol, nous avons atterri à Athènes et avons pris un taxi (commandé via Booking.com) pour nous rendre à Golden City Hotel Athens. La dame de l'accueil n'était pas particulièrement sympathique pour ainsi dire, on aurait dit qu'on la dérangeait à la moindre demande de notre part. Covid oblige, nous devions demander à l'accueil de nous apporter des serviettes et papier toilette en cas de besoin car les chambres ne seraient pas faites durant notre séjour (c'était également le cas à Mykonos et Corfou).
Notre chambre était plus grande que celle de Mykonos mais la baignoire était minuscule, on aurait dit une baignoire de Playmobil.
Je ferme la parenthèse sur ce semi-confinement et reviens sur l'hôtel dans lequel nous allions passer quelques nuits. Il n'était pas loin du centre-ville mais situé dans un quartier très malfamé dans lequel il y avait beaucoup de toxicos. Ma cousine et moi nous nous sommes dit qu'il fallait absolument qu'on rentre avant la nuit tombée après chacune de nos balades car beaucoup trop dangereux.
Nous avons d'ailleurs trouvé une seringue dans un parc près d'un site touristique, ça craint quand même !
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Académie d'Athènes |
Jour 11
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Monastiráki |
Jour 12
Pour ce dernier jour complet à Athènes, nous nous sommes de nouveau promenées dans la ville.
Pour le repas du midi, nous avons acheté une pizza chez Tua Pizza et nous sommes allées la manger dans la zone commerciale.
Plus tard, nous avons pris un petit train dans la zone commerciale d'Athènes qui nous a permis de faire le tour de la ville et de passer devant des monuments touristiques en 40 minutes.
Pour le repas du soir, nous avons commandé des plats coréens via l'application Wolt chez Ikura Sushi Bar. Grace à mes instructions, le livreur a déposé notre commande directement devant la porte de notre chambre d'hôtel.
Jour 13
Informations supplémentaires et ressentis
J'ai trouvé Corfou, Santorin et Mykonos très jolies comme villes. La plus jolie d'entre elles est Mykonos selon moi, les ruelles sont très mignonnes et d'un blanc immaculé tout comme à Santorin.
J'ai été un peu déçue par Oia, je m'attendais à voir beaucoup plus de maisons aux toits bleus comme c'est le cas sur les cartes postales ; cependant, la ville est tout de même jolie.
Se balader dans les rues de Santorin et de Mykonos en basse saison est très agréable car il y avait peu de touristes, très pratique pour prendre de belles photos.
J'ai également trouvé qu'il y avait très peu de choses à faire à Mykonos et Corfou, une journée est largement suffisante pour ces deux villes. Je pense que les gens qui vont à Mykonos y vont surtout pour faire la fête et aller à la plage.
J'ai trouvé les gens beaucoup plus accueillants sur les îles que dans la capitale grecque.
Il y a énormément de chats en Grèce, il y en a pratiquement à tous les coins de rues, surtout à Mykonos et à Santorin. A Mykonos, des gamelles sont posées dans les rues pour nourri les chats.
J'ai constaté que les péages sur les autoroutes à Athènes sont différents de ceux qu'on trouve en France. Les prix ne sont pas les mêmes en fonction du type de véhicule (moins cher pour les motos et plus cher pour les camions par exemple).
Dans les restaurants, les portions sont très généreuses alors il vaut mieux commander un plat ou une entrée pour deux. Nous nous sommes fait avoir à de maintes reprises !
Le port du masque n'était pas vraiment respecté sur les îles, en revanche, à Athènes, tout le monde le portait mis à part deux ou trois récalcitrants.
Chose très étonnante, nous n'avons subi aucun retard sur aucun de nos vols, nous avons pourtant pris l'avion six fois lors de ce voyage sur le territoire hellénique.
Nous sommes rentrées à temps sur Paris car le Gouvernement grec a instauré un confinement total en Grèce le samedi suivant notre retour.
Nous espérons pouvoir de nouveau partir à l'étranger très prochainement car nous avons déjà plein de projets, mais chut, c'est un secret !
A bientôt pour de nouvelles aventures !
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